Pahn’ dienstrom; pretend to be fearless. (2e)

• partie un; PRÉSENTATION

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Nom = dienstrom.
Prénom = pahndòre, lullaby, rythm. mais tout le monde s’accorde à l’appeler Pahn pour éviter de rappeler de mauvais souvenirs à sa famille car son prénom est le même que celui de sa défunte mère.
Age = dix-neuf ans.
Date de Naissance = le premier avril 1989.
Lieu de Naissance = newport.
Orientation Sexuelle = hétéro.
Emploi = étudiante; elle travaillait en temps que serveuse dans un bar pour gagner de l’argent de poche mais après tout ce qui lui est arrivé, elle n’est pas sure de vouloir y remettre les pieds.
Statut = habitante.

• partie deux; QUI ÊTES-VOUS

Histoire =
La logique voudrait que je vous conte toute l’histoire de cette jeune fille mais ce serait bien trop ennuyant. Il n’y a rien de très intéressant à raconter. La seule chose manquante à savoir c’est que lorsqu’elle était petite (âgée de quelques mois), un feu se déclencha dans la maison qu’elle habitait avec son père, sa mère et son grand-frère, Myles. Seuls son père et elle-même en sortirent vivant. Le géniteur n’étant pas à la maison au moment des faits (il était au travail si vous tenez à savoir). et c’est presque par miracle que les pompiers réussirent à savoir l’enfant alors que la bâtisse entière commençait déjà à s’affaisser. Et c’est ainsi qu’elle fut privée de sa mère et de son frère. frère dont elle n’a pas le moindre souvenir étant trop jeune pour se rappeler de quoi que ce soit à son sujet mais, jusqu’à l’âge de dix-sept, son père l’obligeait à aller sur la tombe de sa mère et de son frère au moins une fois par semaine, pour leur montrer qu’elle ne les oubliait pas. Et c’est d’ailleurs de cette façon qu’elle est devenue proche de son frère. Étrange, non ? Mais c’est le cas. Quand ils sont petits, les enfants s’imaginent des amis imaginaires ? Et bien Pahndòre s’imaginait son frère à chaque fois qu’elle allait le voir. Autrefois, elle était persuadée de le voir mais ce n’était que son imagination qui lui jouait des tours. A présent, elle se contente de lui parler sans le voir ou avoir de réponse. Ce morceau de pierre sortant de la terre est en quelque sort, son confident. D’autant plus qu’elle n’est pas du genre à se plaindre de son sort et ne raconte que très peu souvent ses problèmes, de ce fait : c’est un moyen pour elle de se soulager. d’avoir quelqu’un à qui tout dire. C’est donc pour ça qu’elle n’est pas rare de l’entendre parler de son frère comme si elle l’avait connu ou qu’il soit vivant. A part ça, il n’y a rien de bien particulier à dire sinon qu’élevée uniquement par son père, et n’ayant jamais eu de personnes pouvant prétendre au poste de mère car son père refuse catégoriquement de retenter une expérience amoureuse, elle a tendance à avoir l’air d’un garçon manqué. Les jupes (ou robes) et elle ne sont pas vraiment copines et elle a une large tendance à se comporter comme un garçon, à être bagarreuse (d’ailleurs, son père qui est boxeur l’entraine depuis qu’elle est petite alors elle pourrait facilement vous foutre la raclée de votre vie) et tout ce qui s’en suit.
Ainsi, faute d’avoir grand chose de croustillant sur son histoire; parlons plutôt de ce qui est arrivé il n’y a pas si longtemps que ça. Quand vous avez commencé à voir sur tous les murs de votre ville, et sur toutes les briques de lait, un portait d’elle indiquant les mots : " portée disparue ". Et ce fameux jour où vous avez pu avoir dans bon nombre de journaux un article de ce genre =

Peux-être que savoir ce qui s’est passé vous intéresserez ?
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Ce soir-là, la jeune fille finissait son service à onze heure et le temps qui la séparait de sa liberté lui parurent des années. Entre les abrutis qu’elle devait servir alors qu’ils croyaient pouvoir tout se permettre et ceux qui faillaient virer du bar tellement ils étaient bourrés, Pahndòre jugeait avoir bien mériter de rentrer chez elle. En temps ordinaire, ça ne l’aurait pas gêné de quitter le bar plus tôt, laissant l’autre serveuse prendre ses tables en attendant que celle qui prendrait la suite arrive mais là, il y avait pas mal de monde et elle doutait que sa collègue - si frêle que Pahn’ était persuadée qu’en lui soufflant dessus, elle parviendrait à la faire voler - puisse se débrouiller seule.
Alors elle resta, guettant toute personne entrant dans le bar espérant voir celle qui la remplacerait. Et c’était toujours déçue qu’elle reprenait son travail, s’accrochant un sourire aux lèvres pour paraitre aimable. Et ce fut avec dix minutes de retard qu’on vint prendre sa place. Elle se retint, par miracle, de faire un scandale même si une petite dispute aurait calmé ces nerfs. A la place de quoi, elle se dépêcha de prendre son sac et de quitter les lieux. Elle salua quelques clients qui s’avéraient être de bons amis et commença le long chemin qui la séparait de chez elle. Malheureusement pour elle, la demoiselle n’avait pas de voiture. Son père avait trouvé préférable de ne pas lui en offrir une autre quand il avait apprit que l’autre avait fini dans un arbre. Et bien que Pahn’ ait tout fait pour le convaincre qu’elle n’y était pour rien, il avait refusé de le croire. Mais bon, cela date d’il y a trois ans, elle avait donc fini par s’y faire.

Ainsi, c’est dans le froid qu’elle commença à emprunter ces ruelles sombres qu’elle connaissait par cœur. Toute personne qui passait par là pour la première fois aurait du sentir cette oppression des bâtiments si proches c’était un miracle qu’on puisse définir cela comme une rue car une personne n’aurait pu passer en voiture, pas même en moto. Elle aurait aussi du s’inquiéter des ténèbres de la rue car les rayons de la lune n’étaient pas assez puissant pour l’éclairer, la seule chose qui était un lampadaire, au bout de la rue. Mais elle passait par ce chemin depuis tellement longtemps que cela ne l’inquiétait plus. pas même les légers bruits suspects qu’on y entendait et que Pahndòre avait toujours préféré décrire comme des couinements de rat ou quelque chose du genre afin d’éviter de s’imaginer un mauvais remake de film d’horreur. Non pas qu’elle n’aime pas les films d’horreur, au contraire = Mais il en fallait beaucoup pour l’effrayer.

Et croyez-le, cette nuit-là : elle en eut pour son grade. Car c’est dans cette ruelle étroite que la jeune fille s’est faite enlevée. En effet, alors qu’elle allait bientôt en sortir pour atteindre la Grande Rue, un mal de tête impressionnant lui donna le vertige. S’arrêtant, elle eut le réflexe de mettre sa main contre son front, comme si cela allait arrêter quelque chose. Elle était habituée à ce genre de " crise " (ou du moins, c’est ainsi qu’elle les qualifiait). En général, c’était un mauvais signe = celui qu’elle allait se mettre à entendre ces stupides voix tout droit sortie de son imagination (là encore, c’est ce dont elle tentait de se convaincre). seulement là, rien de tout ça ne se passa et à vrai dire, elle aurait préféré. A la place de ses hallucinations, la souffrance s’amplifia, troublant peu à peu sa vision, lui arrachant quelques grimaces de douleur. Et bientôt, elle s’évanouie. Son corps plongea vers le sol, inerte, sans bouger. N’émettant pas le moindre bruit sinon celui d’un objet qui tombe par terre. A partir de là, elle ne se souvint de rien. Inconsciente, elle ne vit pas les trois femmes cachées dans l’ombre en sortir pour la transporter dans leur sous-sol grâce au pouvoir de cette dernière. De toute façon, même si elle avait été consciente, elle aurait été incapable d’accepter le fait que quelqu’un ait des pouvoirs = on est pas dans un film, merde ! Ainsi, si vous allez lui dire que ces maux de tête étaient du aux rafales psychiques d’une sorcière, elle vous balancera son poing dans la gueule. Enfin, c’est ce qu’elle aurait fait jusqu’à présent car à partir de ce jour, sa vision du monde changea totalement. Mais revenons plutôt à ce qu’elle vit en se réveillant.

La vision troublée, c’est toujours avec ce vertige qu’elle tenta de se lever sans y parvenir. Ses jambes tremblantes étaient trop faible pour la soutenir. Il faisait noir, et froid. Un silence à vous glacer le sang régnait dans la pièce. uniquement brisé par sa respiration, haletante. Ou du moins, c’est ce qu’elle crut mais quand elle parvint à reprendre un rythme plus lent, elle se rendit compte que ce n’était pas la sienne. Plus le vertige s’arrêtait, plus elle discernait de nouveau bruit. Ceux de métaux qu’elle définit vite comme des chaines car lorsqu’elle essayait de toucher à tâtons autour d’elle, elle sentit quelque chose de froid et lourd lui frotter les poignées. Après quoi, ce fut des gémissements sourds, épuisés qui parvinrent à ses oreilles. Horrifiée, inquiète, elle tenta de se convaincre qu’il s’agissait d’une farce que l’un de ses amis avait du lui faire. Il fallait qu’elle arrive à les faire parler, si c’était un coup de ses amis, elle reconnaitrait forcement leurs voix. Elle finit donc par déclarer, hésitante mais d’une voix forte =

PAHNDÒRE DIENSTROM -

« Y a quelqu’un ? »

INCONNU -

« La nouvelle : ta gueule ! sinon, elles vont rappliquer. »

En temps ordinaire, elle ne se serait pas laissée faire et aurait très certainement répliqué mais la voix qui lui répondit lui avait coupé la voix. Ce n’était pas quelqu’un qu’elle connaissait et elle doutait que ses amis aient engagé des inconnus juste pour lui faire une farce. Se rappelant alors de tout ce qu’elle avait vu dans les journaux précédemment, elle réalisa vite ce qui c’était passé. D’une manière, ça la terrorisa mais le fait qu’on lui réponde la rassura : au moins, on ne la tuerait pas...

si seulement elle avait su que son sort allait être pire. que le cauchemar ne faisait que commencer. Entre tortures et harcellements morales (dont elle seule semblait souffrir, ce qu’elle ne parvenait à comprendre. Pourquoi c’était à elle qu’on répétait qu’elle ne faisait pas ce qu’elle devrait avoir les aptitudes qu’elle avait ? Qu’elle aurait du depuis un bon moment avoir choisi son camp, les rejoindre et à son tour endossait le rôle de persécuteur. que si jamais elle se mettait à agir selon la volonté des trois, elles arrêteraient de la faire souffrir. que pour cela il fallait qu’elle tue l’une des personnes qui était avec elle dans le sous-sols, etc.). Bref; Pahn’ aurait peut-être bien préféré y passer. ça aurait été moins douloureux.

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{...}

Ce jour-là avait débuté comme tous les autres depuis qu’elle était dans cette maison de malheur. seulement comme à chaque nouveau jour qui se levait, l’état de la jeune fille empirait. Des égratignures sur le corps, des plaies encore ouvertes qui laissaient couler du sang le long de son dos, la faisait souffrir à chaque mouvement. Il y avait aussi sa tête, qui lui faisait si mal qui lui arrivait même d’en vomir, sans parler de l’odeur répugnante qui se dégageait dans la pièce. Pahndòre aurait juré qu’il s’agissait de celle d’un cadavre en putréfaction mais elle préférait ne pas y penser car si quelqu’un était mort, il y avait de chance pour qu’elle aussi finisse en parler. Et de toute façon, elle n’aurait aucun moyen de le vérifier. L’endroit était toujours plongé dans le noir, les liens qui serraient ses mains et ses pieds l’empêchaient de bouger et la brûlaient même. De plus, personne n’osait parler. Parler signifiait d’avantage de torture dans ce lieu.
Une fois, elle avait entendu une de ses camarades d’enlèvement criait à l’aide : après quoi elle avait été enlevée et les cris qu’elle poussa ensuite témoigna de l’ampleur des tortures qu’on lui avait faite pour qu’elle apprenne la leçon. A son arrivée, Pahn’ avait bien essayé d’engager la conversation avec d’autres (à voix basse) mais très vite : ses forces la lâchant, elle ne trouva plus la force de parler. D’autant plus qu’on ne leur donnait à boire qu’une fois par semaine (et encore, c’était un pauvre verre) alors dépenser sa salive à parler était une mauvaise idée. D’ailleurs le manque d’eau n’était pas le seul qui se faisait sentir. Il n’était plus rare que son ventre fasse aussi des siennes. Les premiers témoignages de sa fin ne la gênaient pas car c’était juste quelques bruits mais très vite, une douleur la prit au ventre. douleur qui restait malgré le pauvre morceau de pain qu’on leur donnait tous les deux jours. Bref; s’il y avait bien un endroit que Pahn’ aurait confondu avec l’enfer = c’était celui-ci. Elle passait ses jours à attendre, attendre la prochaine fois qu’on viendrait choisir l’un d’en eux pour savoir lequel serait torturé aujourd’hui. La peur s’emparant de son esprit à chaque fois que la porte s’ouvrait, signe que la sélection allait commencer.

Et comme tous les autres jours, ce moment crucial finit par arriver. La lumière du jour l’aveugla soudainement, comme un violent coup de fouet. Fermant les yeux et se recroquevillant sur elle-même, elle aurait voulu ouvrir les yeux pour voir ce qui allait se passer mais ne put. Ses yeux mettaient bien plus de temps à s’habituer à la lumière maintenant que ça faisait plus d’un moi qu’elle était là. En parlant de temps, elle n’avait plus la moindre notion de ce dernier. Parfois, elle essayait de devenir le jour qu’on devait être, histoire de penser à autre chose mais très vite, la peur revenait en force. Ainsi, il lui fallut attendre les yeux clos, le moment du verdict. Comme à l’habitude, elle entendit quelques grognements et gémissements douloureux. L’une des trois devait faire les tests habituels = elle bougeait un peu chaque personne pour savoir lequel était le plus en état et selon leurs envies : elle prenait le plus faible, ou le plus fort.
Ce fut au tour de Pahn’ car, elle sentit un coup dans ses jambes ce qui lui décrocha une grimace. Elle se mordit la lèvre pour ne pas couiner comme les autres, ça leur aurait trop fait plaisir. Manque de bol, c’est ce qui lui valut un aller direct dans ce qu’elle avait appelé la ’salle des tortures’. Inutile de vous décrire les horreurs qu’on lui fit, de nouveau. Elle revint dans le sous-sol dans un état encore plus critique. Qu’est-ce qu’elle aurait fait pour que cette peste oublie au moins une fois de lui remettre de les liens qui l’attachaient au mur... Histoire qu’elle n’ait pas à rester dans une position qui lui ferait encore plus mal. Elle aurait tout fait pour que la fille croit l’avoir attaché alors que ce n’était pas le cas... Elle priait même pour que ce soit le cas (n’étant pas croyante, ça prouve à quel point elle n’en pouvait plus).

Fermant les yeux comme si cela allait l’aider à oublier sa douleur, elle se sentit balancer dans la pièce où ils étaient séquestrés et croyez-le ou non : on referma la porte derrière, oubliant de la rattacher. Ses souhaits auraient-ils été réalisés ? L’espoir écartant presque la douleur et la peur de son esprit, elle attendit près de la porte. Avec un peu de chance, il y aurait une deuxième personne appelée pour se faire torturer et elle essayerait d’en profiter. C’était horrible d’espérer ça mais, elle était tellement désespérée que cela ne lui parut si horrible que ça. Elle savait que lorsqu’on venait en chercher deux dans une seule journée, cela voulait dire que la deuxième victime n’aurait à supporter qu’une seule sorcière. (Pahn’ en avait déduit que cela impliquait que les deux autres n’étaient pas présentes à ce moment.) Ainsi, elle voyait là un espoir. Et par chance, après des heures à patienter, elle entendit des bruits de pas dans la pièce à côté, ou plutôt le couloir à côté.
Se reculant pour éviter de se prendre la porte en pleine tête, elle attendit qu’elle soit ouverte et c’est en plissant les yeux sans pour autant les fermer (malgré la douleur que lui procurait la lumière, elle distingua une silhouette. Par instinct et dans un élan de force et de courage qu’elle pensait avoir perdue depuis longtemps, elle donna un coup de pieds assez puissant dans le genoux de la personne. Cette dernière tomba en hurlant. N’y prêtant pas attention, rassemblant le peu de force qui lui restait, elle se leva et se mit à courir, les mains devant car ayant les yeux toujours à moitié fermés, elle avait peur de tomber. Avançant un peu à l’aveuglette, elle entendit derrière elle une porte se refermée. Elle déduit que la personne s’était relevée et s’apprêtait à essayer de la rattraper mais qu’elle avait eu l’intelligence de refermer la porte derrière elle pour éviter que d’autres s’échappent. Par chance, cela laissa un peu plus de temps à Pahndòre pour s’enfuir de la maison. Quand elle trouva la porte, elle crut bondir de joie quand elle se rendit compte qu’elle n’était pas fermée à clef. Elle s’empressa de partir de ce lieu maudit, courant le plus vite que son état lui permettait. Elle n’osait pas regarder derrière elle de peur de s’apercevoir que l’une des trois femmes soit juste derrière. Fonçant toujours, elle espérait atteindre une ville d’ici peu car par malheur, il fallait que la maison de laquelle elle s’échappait soit en plein milieu des bois...

suite au prochaine épisode.
caractère = cf: post suivant.
relations et famille =
Niveau famille, Pahn’ n’a toujours connu que son père puisque son grand-frère et sa mère sont morts dans un incendie quand la demoiselle était encore une bambine. Elle ne s’est jamais plainte de ce manque pour éviter que son père ne se sente encore plus coupable de ne pas avoir été là durant l’évènement. Pourtant elle ne peut s’empêcher de se demander ce qui se serait passé si tout cela n’avait jamais eu lui, comment serait sa mère ou son frère ? En parlant de lui, malgré le fait qu’elle ne l’ait jamais connu, ou du moins : aucun souvenir de lui, elle le considère comme son seul confident car le seul endroit où elle se permet de tout dire, c’est au cimetière, en parlant à la tombe de son frère. Ainsi, c’est comme s’il avait toujours été là malgré tout. Mais bon, après : elle a eu un père de première catégorie. Toujours là quand elle a eu besoin de lui, elle en est très proche malgré les conflits qui les opposent parfois, comme dans toute relation parent/enfant.
En ce qui concerne les relations dans un terme plus globale : Pahndòre a plutôt de la chance. Dans le genre bavarde (qui peut même faire la conversation pour deux), adorable et extravertie = on fait pas mieux. Elle va donc facilement vers les gens et collectionne les amis. Néanmoins, sa tendance à parler trop franchement et à être bagarreuse ne lui apporte pas que des amis... Mais bon, une vie sans ennemis ne serait pas drôle (selon elle). D’autant plus qu’elle a tendance à choisir ses ennemis. explication = quand elle voit que c’est quelqu’un qui a du répondant, elle s’amusera à l’énerver pour qu’il devienne son ennemi comme ça, c’est toujours plus amusant et divertissant que si c’est un naze qui se contentera d’entendre vos répliques sans y répondre. En général, ce genre de personnes (les ’nazes’ en question), elle les évite, les trouvant bien trop ennuyante.
(hs : si quelqu’un veut un lien avec mon perso = avec joie, y a qu’à demander.)

• partie trois; PLUS EN DÉTAIL

Vous et le Paranormal =
Bien qu’elle l’ignore, Pahndòre baigne dans le paranormal depuis qu’elle est petite. elle n’avait que quelques mois quand un démon est entré dans la maison et lui a fait boire de son sang avant de mettre le feu à sa maison, ainsi qu’à sa mère. Seulement ce petit détail, elle était bien trop jeune pour pouvoir s’en souvenir. D’après ce qu’on lui a toujours dis : il s’agissait d’un feu accidentel du à une fuite de gaz. Toujours est-il qu’elle parvint à s’en sortir vivante, tout comme son père. Après quoi, rien de bien étrange ne vient l’approcher. à part peut-être des migraines, dues à des pensées en trop. En effet, elle entend d’autres pensées que les siennes (de temps à autres) seulement elle est persuadée qu’elle devient folle et préfère se taire à ce sujet. En général, quand ça commence à devenir un peu trop encombrant, elle préfère les faire passer avec quelques verres d’alcool. A part ça ? Rien. Ôh si bien sur, les superstitions habituelles : l’histoire du chat noir, etc. mais rien dont elle put avoir la confirmation. Alors n’allez pas lui parler de démons ou sorciers ! Enfin, maintenant, vous pourriez. Maintenant qu’elle a eu les preuves qu’il vous aurait fallu pour la convaincre. Voilà pas qu’il y a trois mois, elle est enlevée par des... sorcières. Évidemment, au début, elle ignorait leur nature mais ça lui fut vite révéler. Faut-il préciser que les hommes aux yeux noirs qui passaient dans la maison lui ont foutu la trouille ? Néanmoins, elle préfère se persuader qu’elle est folle, plutôt que d’affronter la réalité. Mais pour éviter de se faire enfermer, elle niera tout en bloc. et prétendra même avoir perdu la mémoire. Il vaut mieux ça pour elle car elle doute que si jamais les sorcières lui remettent le grappin dessus : ces dernières apprécient que Pahn’ ait divulgué leur sale petit secret. Bref; sujet qu’elle ne préfère pas aborder.
Statut = Humaine (à qui on a fait avaler du sang de démon quand elle était petite).
Pouvoir = Télépathe (elle peut lire dans la pensée d’autrui, créer des illusions psychiques, implanter de faux souvenirs chez autrui, générer des rafales psychiques pour attaquer quelqu’un et le malmener jusqu’à l’évanouissement en provoquant chez lui des maux de tête terribles, isoler mentalement une douleur ou au contraire l’attiser chez une personne, se rendre invisible psychiquement aux autres en manipulant leurs pensées, projeter sa forme astrale à des kilomètres à la ronde pour communiquer avec quelqu’un, etc.) mais elle ne contrôle en rien tout cela.
Habiletés = Aucune. ou presque. Elle est incapable de maitriser une arme mais à d’assez bonnes bases en ce qui concerne certains arts martiaux.

• partie quatre; VOUS, DERRIÈRE L’ÉCRAN

Votre Age

Comment avez-vous connu le forum ?

Critiques sur le forum

D

Combien de temps passerez-vous ici ?

Code Réglementaire

Ok by Dean

Caractère =
Ne voulant pas jouer les demoiselle en détresse mais surtout pour appuyer l’amnésie qu’elle va prétendre (puisqu’elle va déclarer avoir oublié tout ce qui s’est passé à partir du moment où elle a quitté le bar), elle essayera d’agir comme elle l’aurait fait en temps ordinaire même si ça risque de lui couter beaucoup. (je mets donc la description que j’aurais fait de son caractère avant son enlèvement).

« elle est pas méchante, mais putain qu'est ce qu'elle est chiante. »

Quand on la croise pour la première fois, la jeune fille peut paraitre un peu snob avec certaines personnes car, bien qu’elle persiste à le nier, elle ne peut s’empêcher de s’arrêter en premier lieu au physique. Si la personne lui fait bonne impression, elle ira la voir sans problème mais si c’est le contraire, elle peut très vite devenir désagréable. Mais bon, ne nous voilons pas la face = qui ne juge pas à la première impression ? Personne. Il y a juste des personnes plus ouverte d'esprit qui sont capable de remettre leur jugement en question... Et bien, ce n'est pas le cas de Pahn’ sauf qu’elle, ce n’est pas parce qu’elle n’a pas l’ouverture d’esprit nécessaire mais plutôt parce qu’elle est trop têtue. trop bornée pour avouer qu’elle a eu tord. Alors, la plupart du temps, quand elle réalise qu’elle s’est royalement plantée, elle fait tout pour énerver la personne et que cette dernière lui fasse une crasse ce qui inverse la situation et fait qu’elle avait raison.
Vous l’aurez peut-être compris = elle a un égo qu’elle ne veut pas abimer. Certains qui ne la connaissent pas et qui l’ont simplement entendu parler avec ses amis vous diront qu’elle est imbus de sa personne, se sentant supérieur aux autres. Pourquoi ? Tout simplement parce que, pour rigoler, elle se lance des fleurs (de toute façon = on est jamais mieux servi que par soi-même) en disant qu’elle est la meilleure, la plus belle, etc. Bien entendu, c'est naturellement pour se tourner en dérision puisqu’elle prend toujours des tons très théâtrales dans ces moments-là, juste pour faire rire ses amis. Oui, bien sûr, vous pouvez vous demander pourquoi elle essaye de les faire rire de cette manière ? Et bien, c’est simplement pour cacher quelque chose = Il faut savoir qu’elle est quelqu'un qui, par définition, manque cruellement de confiance en elle et qui a besoin de cacher ses faiblesses et cela fait partie des moyens qu’elle a trouvé.
Un autre moyen que l’on remarque très vite est son aptitude à cacher ses sentiments ou émotions. Enfin, ce n'est pas comme ça qu’on le remarque puisqu’elle est assez fufute pour faire que ça ne se voit pas trop. En réalité, les gens ne voient d’elle que cette partie toujours souriante et optimiste. En effet, peu importe la situation, on retrouvera toujours ce fichu petit sourire accroché aux lèvres de la blonde. A croire qu'elle est née avec et que c'est un trait de son visage. Il est d’ailleurs très rare qu’elle quitte mais il faut dire que la plupart du temps, c’est assez pratique. surtout quand on veut faire retrouver la joie de vivre à quelqu’un. Après tout, si vous alliez mal et qu’une personne qui fait la gueule vient vous voir pour essayer de vous consoler, expliquez moi en quoi ça va vous aider ? Et puis, de toute façon, Pahndòre a un sourire très communicatif, il est bien rare qu’on ne sourit pas, inconsciemment, à son tour quand on le voit.
Et là, vous vous demandez surement comment est-ce possible que son sourire soit si " puissant " alors qu’elle cache tout derrière ? Après tout, on reconnait facilement un sourire forcé quand on en voit un... Et bien c’est tout simple = il est, en quelque sort, totalement vrai car la demoiselle se force à toujours voir les choses du bon côté, là encore pour ne pas se faire submerger par ses émotions. Puisque, si elle voit tout d’une manière " cool ", elle ne peut qu’être heureuse. Là encore, c’est souvent une bonne humeur qu’elle parvient à transmettre. Enfin, ça dépend des cas. Il faut avouer que dans une situation extrême, voir quelqu’un aussi niaisement optimiste : ça peut très vite devenir énervant mais la demoiselle n’y fait pas vraiment attention. surtout que la plupart du temps, même les gens dans ce cas là finissent par sourire en sa présence. Pourquoi ? Disons qu’elle met un point d’honneur à ne pas voir de gens tristes de peur que ce ne soit contagieux. Ainsi, elle fera tout pour leur faire retrouver un peu de bonheur = se ridiculiser, jouer les sottes, montrer son côté humoriste. Rien ne la gêne vraiment tant que c’est pour voir les gens contents.
Et puis, il faut dire que le fait qu’elle soit drôle facilite bel et bien les choses. Certes, bien des fois, lorsqu’elle l'est, c'est à ses dépends car elle l’est accidentellement = dans la tournure de ses phrases, dans ses actions (surtout que maladroite comme elle est, vous pouvez être sure qu’elle se cassera la gueule au moins une fois si vous restez un peu moins d’une heure avec elle) mais aussi dans le fait qu’elle soit légèrement niaise et naïve. Vous pourriez la dire la chose la plus débile au monde qu’elle vous croirait, comme quand une de ses amis avait prétendu arriver d’une " autre planète " et que ’Dòre n’avait rien trouvé mieux que de répondre « Ôh, je savais pas que tu avais été... » et ne réalisa sa faute que lorsqu’elle remarque le sourire en coin de ses camarades. Elle s’était aussitôt reprise : « Okay, j’ai rien dis. Arrêtez de me regarder comme ça, je l’ai pas dis. » Vous l’aurez compris, elle croit tout ce qu’on lui dit : on pourrait lui dire que les humains viennent en réalité d’une autre planète qu’elle vous croirait !
Néanmoins, n’allez pas croire qu’elle est totalement débile (oui bon ok, peut-être un peu sur les bords xD). mais bien au contraire ! Bizarrement, ça étonne toujours les gens = allez savoir pourquoi *sarcastique*. Bref ; ayant un QI plus important que la moyenne, elle est très intelligente et possède une mémoire plus que surprenante. Il s’avère que la demoiselle est capable d’être attentive à deux conversations en même temps mais surtout, à retenir au mot près ce que quelqu’un lui a dit il y a des mois ! Oui, c'est plutôt pratique pour les cours. Alors, bien évidemment, on s’attendrait à retrouver une personne calme, effacée, timide trainant en permanence derrière des bouquins. en résumé : un vrai petit rat de laboratoire. Pourtant, c’est loin d'être le cas. En cours, elle est toujours la première à bavarder avec ses camarades, à ne pas suivre le cours car elle fait autre chose. Ce qui a tendance à énerver les professeurs qui cherchent encore à la piéger en lui demandant ce qu’ils viennent de dire, malheureusement pour eux, Pahn’ suit inconsciemment le cours et grâce à sa mémoire : est capable de leur répéter sans faire la moindre erreur. De plus, ils n’ont même pas la chance de pouvoir lui mettre une sale note puisque la plupart du temps, elle ne fait pas d’erreur ! Et c’est à ce moment là qu’elle énerve aussi ses amis. Tout le monde sait très bien qu’elle ne travaille pas en dehors des cours, qu’elle ne fait ses devoirs seulement quand elle doit les rendre (et encore, elle le fait le jour-même, en même temps qu’elle prend le petit déjeuner) et pourtant, elle n’a que d'excellentes notes ! Il y a de quoi en énerver plus d’un, n’est-ce pas ? M’enfin, on la changera pas alors pas la peine de faire la gueule pendant trois ans...
De toute façon, vu comment elle est chiante, elle trouverait toujours un moyen pour que vous lui parliez. Bavarde comme pas deux, c’est un vrai moulin à paroles ce qui peut devenir très vite énervant mais qui est bien pratique parfois : quand vous n’avez pas envie de parler, si il le faut = elle fait la conversation pour deux. Elle parle tellement souvent qu’on raconte qu’elle se parle toute seule quand il n'y a personne dans les alentours. Pourquoi seulement quand elle est seule ? Non pas parce que ça pourrait lui foutre la honte mais tout simplement parce que quand il y a quelqu’un, elle va le voir pour engager la conversation. qu’elle le connaisse ou non. Ainsi, cela fait d’elle une personne qui va facilement vers les gens mais aussi quelqu’un d’extravertie.
Il y a aussi un grand désavantage à tout cela = le fait que, parlant bien trop, elle ne sache pas tenir sa langue. Il faudrait le lui répéter toute une journée pour qu’elle comprenne qu’elle doit se taire au sujet d’une chose qu’on lui a dite. Si à l’air d’être une bonne confidente, mieux vaut pas trop lui dire de chose quand même, par simple prudence. Car même si elle le fait accidentellement, c’est quand même très embêtant. Et curieusement, c’est toujours elle qu’on vient voir quand on veut connaitre les " secrets " de quelqu’un, ou bien pour faire courir une rumeur. Pour la première raison c’est parce que bien des gens viennent se confier à elle. mais surtout parce que, curieuse comme elle, quand elle croit que quelqu’un est louche, elle le suit jusqu’à trouver un truc vraiment pas clair à son sujet.
Bref, la plupart des choses que j’ai expliqué, c’est quand elle est dans sa " bonne période " car il faut savoir que la demoiselle est une personne lunatique. De plus, excessive comme elle, ça n’arrange rien. Elle peut très bien s’énerver pour rien, sans la moindre raison. Et, puérile et encore trop gamine, elle n’avouera jamais que la raison est vraiment trop futile. Effrontée et bagarreuse, le plus souvent, c’est elle qui engage les conflits et ça finit très mal. A tel point qu’il faudrait demander des pass-vip à l’infirmerie pour elle et ses victimes. Et le pire c’est qu’étant rancunière mais aussi très manipulatrice, ça ne s’achèvera pas à un simple combat, vous êtes sur qu’elle reviendra vous ruiner la vie ou vous faire chier dès qu’elle s'ennuiera. Oui, c’est son petit côté malfaisant et sournois qui ressort dans ces moments-là.
De surcroit, inconsciente comme elle est, elle est capable d’aller ennuyer quelqu’un à la carrure bien plus importante ou bien quelqu’un qui s’y connait bien plus en magie sans même se rendre compte de sa bêtise. Pour couronner le tout = irréfléchie, elle a tendance à agir sur le moment sans réfléchir à ce que ça pourrait avoir comme conséquence. Totalement inconsciente de la plupart des dangers, la plupart de ses camarades la juge comme étant totalement folle ou suicidaire.
Enfin, le point culminant de son caractère est sûrement son aptitude à faire des conneries. Elle déteste que les cours se passe comme sur des roulettes, et mets toujours des bâtons dans les roues de ses profs. Elle a d’ailleurs été exclue quelques jours il y a deux ans, elle avait lâché tous les animaux en liberté. Puis elle s’était servie de la salle de chimie sans autorisation. Bref, c’est une vraie petite rebelle, et une ancienne pure rockeuse. Elle en a donc gardé son caractère de casse-cou. Elle n’a pas froid au yeux, et n’a peur de rien… Ou presque. Elle adore faire peur à tout le monde, et elle est sûrement la plus courageuse de son ex-bande d’amis… Au risque de joué avec sa vie. Elle ne se rend pas compte des dangers, une vraie tête brûlée… Elle fait peur à tous ceux qui la connaissent, mais bon on vit avec. Et au fond, tout le monde sait que Pahndòre est folle.

Wouah !

J'ADORE TA FICHE ... C'EST INCROYABLE COMMENT UNE FICHE PEUT-ÊTRE AUSSI BONNE ! JE NE SAIS PAS COMMENT T'AS FAIT, MAIS T'ES MIEUX DE PAS LAISSER TOMBER LE FO' AVANT LONGTEMPS ! xD

T'es validée ma chère ! Very Happy

)

Je vérouille ! Very Happy